Inquiètes pour leurs emplois et leur modèle de chaîne multilingue, environ 150 personnes (sur 500 salariés) se sont réunies, jeudi 2 février, devant les locaux de la chaîne paneuropéenne, à Lyon. Depuis le rachat de la chaîne par le fonds d’investissement portugais Alpac Capital, en juillet dernier, les salariés redoutent des délocalisations d’emplois, des suppressions de postes, et même la fin du modèle multilingue de la chaîne.