Innocentes. Ces activistes bretonnes peuvent souffler. «Coller une affiche sur un support mural ne constitue pas une dégradation», a estimé le procureur de la République. La municipalité réclamait 1.070 euros, ou à défaut des poursuites pénales, contre trois militantes ayant effectué trois collages dénonçant les féminicides écrit Mediapart.