Le festival new-yorkais accueille le troisième long-métrage du Français Laurent Slama, qui explore (en anglais) les fractures invisibles d’un Paris en pleine effervescence olympique. «Je voulais vraiment filmer pendant les Jeux, même si c’était interdit. Finalement, nous avons eu l’autorisation documentaire, car nous étions une petite équipe de cinq. C’était un vrai plaisir de filmer, car il y avait peu de monde, et c’était Paris sans les Parisiens !», s’amuse le réalisateur. (Lire l’interview p.3)