Le Conseil d’Etat a rejeté mardi 8 avril la requête en référé de l’influenceur algérien Doualemn, dont le refoulement par l’Algérie avait envenimé les relations entre Paris et Alger. Saisie d’un référé-liberté, la plus haute juridiction administrative a estimé que le ministre de l’Intérieur, qui a signé cet arrêté, n’avait «pas porté une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale», a rapporté l’AFP.