Dans une tribune au Monde, le président du directoire du groupe Canal+ a notamment prévenu que même si «le cinéma français est au sommet, il connaît dans le même temps l’une des heures les plus graves de son histoire». Maxime Saada évoque ainsi les trois atouts du modèle qui sont menacés : «la mécanique de financement robuste» reposant sur «deux alliés financiers de taille» (le CNC et Canal+), «la chronologie des médias» et «la recherche d’une exposition maximale des films, par les salles de cinéma, irremplaçables, et les chaînes de télévision».