La crise grecque n’en finit pas. Vendredi, c’était au tour du premier opérateur télécoms grec, OTE, d’annoncer son souhait de supprimer un total de 1.100 emplois dans sa division téléphonie fixe. Ceci représente près de 13% des effectifs de ce segment, a expliqué le directeur général Michael Tsamaz à des analystes. OTE, dont Deutsche Telekom est l’actionnaire de contrôle, gère des services de téléphonie fixe et mobile en Grèce, en Roumanie et en Albanie. Après ces suppressions de postes, la téléphonie fixe d’OTE comptera 7.600 salariés, un tiers de moins qu’en 2008, lorsque Deutsche Telekom avait pris 40% de l’opérateur télécoms grec.