Le groupe dirigé par Maxime Saada fait face à un nouveau contrôle fiscal concernant l’utilisation jugée abusive d’un taux de TVA réduit à 10% pour l’année 2022, rapporte la Lettre. Une somme de 200 millions d’euros pourrait s’ajouter au redressement de 655 millions d’euros, notifié à Canal+ par Bercy.