La marque de presse féminine américaine, lancée en France, en 2013, par Condé Nast, s’essouffle. La diffusion payée de Vanity Fair a reculé de plus de 6 % en 2016 (92 300 exemplaires). Les ventes en kiosque souffrent avec une baisse de plus de 20 %. Conséquence de ces résultats jugés décevants par rapport aux objectifs lors du lancement, la rédaction de Vanity Fair connaît des mouvements à répétition. Élisabeth Philippe, en charge de la culture, pourrait quitter le titre. La directrice artistique, Genève Doherty, est également sur le départ.